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L'enseignante: « Laisse la partie commerciale telle que tu la connais, si pour toi cela a un sens; l'argent contre des objets, ou des objets contre d'autres objets, ça a l'air d'être comme ça, pour toi, le commerce, puis la communication, ce n'est pas ça. » L'élève: « Vincent m'a dit de mettre des écritures. » L'enseignante: « Des textes ? Ça, c'est le partage de votre équipe. Il faut que tu le dises à Vincent, ça va fonctionner d'après tes recherches. Lui, il t'a dit cela parce qu'il fait les images, mais là, lui, il n'a pas fait la recherche. Alors, si toi tu trouves des images qui ont rapport à l'écriture, ou en ce qui concerne la communication. C'est quoi, communiquer, maintenant ? » L'élève: « Parler, s'envoyer des emails, des lettres. » L'enseignante: « S'envoyer des courriers électroniques. Puis dans le temps de l'Égypte ancienne, est-ce qu'ils pouvaient s'envoyer du courrier électronique ? » L'élève: « Non. » L'enseignante: « Non. Alors, c'est entre le courrier électronique et les hiéroglyphes, pour que je vois cette évolution-là. Il y a eu des moments de continuité, où les gens écrivaient à la main, puis il y a eu des ruptures. »

Contexte global:

Ces séquences d'élèves en action se déroulent au sein d'une école secondaire, dans les classes de secondaire I et II (deux groupes par niveau). Au plan physique, les élèves sont regroupés en équipes (stables) de quatre où chaque élève bénéficie d'un ordinateur portable. Au plan technique, on retrouve toute la réseautique nécessaire pour relier les ordinateurs, tant des élèves que de l'enseignante, à Internet et au réseau local de l'école. On retrouve exclusivement des portables PC (Toshiba et Compaq), pour des raisons d'homogénéité et de compatibilité. Les tables sont aussi fabriquée pour accommoder les utilisateurs puisqu'elles présentent déjà les prises réseau et en alimentation électrique. De plus, chaque classe dispose d'un ordinateur principal muni d'un scanner et d'une imprimante laser.

Contexte spécifique:

Le stagiaire évalue le travail effectué par les élèves dans leur projet en histoire. Tant l'enseignante que le stagiaire "valident" ce qui a été fait ou propose des éléments à modifier. C'est une intervention qui se fait de façon individuelle ou par groupe de deux élèves où ces derniers expliquent ce qu'ils ont réalisé. Par la suite, l'enseignante questionne les élèves sur la parti de matière dont ils traitent tout en suggérant de nouvelles pistes pour améliorer la qualité du projet. Tous les élèves sont ainsi sondés. Ceci ne constitue toutefois pas une évaluation finale, mais se veut plutôt une appréciation dans un but ultime d'évaluation.